CÉCILE HENNY
Présidente de l’école / Responsable pédagogique
Durée de formation : 1 an réparti sur 13 modules de 5 jours + stages + recherches (soit environ 800 – 900 heures totales)
L’E.I.V.E disposant d’un numéro de prestataire de formateur, attribué par la DIRECTE le 09 Août 2017, nous acceptons toute aide de financement à laquelle le futur étudiant est éligible (OPCA, Agefip, Datadock etc.). La physiothérapie traite les limitations fonctionnelles découlant de blessures et de maladies affectant les muscles, les articulations, les os, le système circulatoire, etc.
Le rôle de la physiothérapie est d’aider à recouvrer le maximum de ses capacités physiques en fonction de son propre potentiel de récupération. Pour y parvenir, les physiothérapeutes utilisent une variété de modalités de soins, tel que des techniques de massage manuel, de stretching, de la cinésiologie, des enveloppements aux algues, de l’hydrothérapie, de la thermothérapie ou encore le G5 (appareil utilisant des infrasons et intrasons).
5 ans post bac (formation répartie sur 13 modules par an de 5 jours + mémoire avec suivi en plus la dernière année). Total annuel de 1200 heures dont 600 en présentiel, 350 de stage (moins la 5e année) et 250 de recherche.
À la fin de la 3ème année, les étudiants ayant validé leurs examens de fin d’année, auront la possibilité de passer les épreuves de physiothérapie de confort. Si elles sont validées ils obtiendront leur certificat de physiothérapie de confort animale, ce qui leur permettra de démarrer cette activité en attendant de valider le cursus d’ostéopathe animalier et de passer les épreuves d’aptitude du CNOV.
L’E.I.V.E est reconnue par l'Etat puisque disposant d’un numéro de prestataire de formateur, attribué par la DIRECCTE le 09 Août 2017, nous acceptons toute aide de financement à laquelle le futur étudiant est éligible (OPCA, Agefip, Datadock, Transition Pro, Qualiopi, etc.).
Statistiques de formation à juin 2023: taux de réussite des passages en année supérieure : 94%.
L'EIVE ne figure à ce jour pas sur les statistiques de réussite du CNOV car pour y figurer l'école doit avoir présenté minimum 50 élèves aux épreuves d'aptitude, ce qui n'est pas encore le cas chez nous.
Le dossier de candidature (dispo sur le site) est à renvoyer complété, il est ensuite étudié sous 3 semaines environ, puis un entretien est alors planifié, à l'issue duquel la validation ou non de l'admission de l'étudiant est transmise à celui-ci, sous maximum 10 jours.
La rentrée des cours a lieu en septembre (examens de fin d'année en juin suivant).
Les étudiants valident une année scolaire par des évaluations continues (25% de la note finale), des écrits à coefficients en juin (50%) et des épreuves pratiques en juin (25% de la note finale).
L'examen final du cursus est sur le même principe mais avec une seule épreuve pratique (espèce tirée au sort) et présentation d'un mémoire, les deux étant jugés par un groupe d'enseignants et de professionnels externes.
L'objectif de la formation est de préparer les étudiants à la profession libérale d'ostéopathe animalier.
L’ostéopathie a été créée en 1874 par l’américain Andrew Taylor Still.
Il en a donné cette définition : « c’est une connaissance scientifique de l’anatomie et de la physiologie qui, dans les mains d’une personne habile, pourra être appliquée en vue d’aider un homme malade ou blessé par l’effort, la tension, les chutes… »
Les recherches qu’il a menées tout au long de sa vie lui ont permis d’énoncer 5 grands principes :
L’ostéopathe travaille avec des équidés, des chiens, chats, mais aussi des animaux de ferme type chèvres, vaches, moutons, des NACS (furets, lapins nains, cobayes, etc…)
L’ostéopathe intervient le plus couramment : lors de raideurs ou restrictions de mobilité lors de boiteries (mais toutes les boiteries ne sont pas mécaniques : par exemple une tendinite ou une fissure nécessiteront que le propriétaire appelle son vétérinaire), lors de la rééducation de l’animale suite à une immobilisation prolongée ou à une opération, après une opération (mais après cicatrisation, confirmée par le vétérinaire bien entendu) lors de changements de comportements, dégradation de l’état général ou baisse de forme (dans certains cas ceux-ci peuvent être dus à des pathologies ostéopathiques lésant le bon fonctionnement de l’organisme mais ne sont bien entendu pas à exclure des causes devant être traitées par le vétérinaire telles que des troubles digestifs, carences, anémie, etc) et lors de chutes importantes (si pas de plaie ouverte nécessitant l’intervention d’un vétérinaire.
En entretien (il est recommandé de faire appel à l’ostéopathe 1 à 2 fois par an afin de limiter les compensations éventuelles liées à des pathologies fraîchement installées).
L’ostéopathe doit cependant toujours prendre en compte les antécédents de l’animal, le contexte, lieu de vie, activité, âge, reproduction, etc… En cas de traumatisme et de doute, il ne doit surtout pas hésiter à demander au propriétaire de faire réaliser des examens par le vétérinaire avant de décider de travailler sur l’animal (par exemple lors d’une bagarre entre chevaux, si un cheval prend un coup de pied à l’encolure au niveau des cervicales, que l’ostéopathe est appelé en premier et qu’il sent une forte inflammation il ne doit pas décider de manipuler sans que le vétérinaire soit passé faire des clichés radios pour s’assurer qu’il n’y a pas de fissure ou fracture mais également qu’il n’y a pas d’hématome situé juste au-dessus du rachis cervical faute de quoi une manipulation ostéopathique pourrait faire glisser celui-ci qui viendrait alors comprimer la moelle épinière pouvant entraîner de lourdes conséquences comme une paralysie ou même la mort !
Idem en cas de boiterie, l’ostéopathe doit être suffisamment formé pour identifier si le problème rencontré est mécanique donc de son ressort ou s’il doit demander au propriétaire de consulter son vétérinaire ou son maréchal ferrant…
Dans aucun cas l’ostéopathe n’est habilité à poser un diagnostic vétérinaire (même s’il a identifié la pathologie), qui de toute façon doit être confirmé par radio ou échographie dans le cadre de forte inflammation ou toute pathologie qui ne serait pas purement mécanique.
CÉCILE HENNY
Présidente de l’école / Responsable pédagogique
THÉO DIETRICH
Enseignant à l’EIVE en anatomie et biologie.
ANNE GLADEL
Diplômée en ostéopathie animale, inscrite au RNA
NATHALIE GILGER
Enseignante à l’EIVE en gestion
CHLOÉ DEL-DO
Diplomée d’ostéopathie animale , inscrite au RNA
BILLY EHRHARDT
Intervenant ponctuel en hypnothérapie
KATHY AMOS JACOB
Intervenante ponctuelle en biomécanique
WILLIAM BONNAUD
Marechal ferrant diplômé depuis 2016
JOAN BRAUN
Éducateur canin et Comportentaliste
JULIE REBINNIK
Enseignante en développement
SALOMÉ FOUQUET
OA 1085, inscrite au RNA
D.V. XXX
Docteur vétérinaire diplômée